Refus d’obtempérer à Paris, les policiers encore pris à partie par l’extrême gauche.
En France, un refus d’obtempérer se produit toutes les 30 minutes environ. Il y a des faits de ce genre qui retiennent l’attention de la sphère médiatique. Cela a été le cas du Pont-Neuf en avril 2022 à Paris.
Cette fois-ci, c’est dans le 18ème arrondissement de la capitale que cela s’est produit. Suite à un refus d’obtempérer à un contrôle routier, des policiers ont fait usage de leur arme pour stopper le véhicule en question. Le conducteur aurait également tenté de renverser des policiers à vélo…
Le conducteur a été grièvement blessé, la passagère est décédée des suites de ses blessures.
Loin de nous l’intention de commenter l’instruction judiciaire en cours, mais que l’on ne s’y méprenne pas : un policier ou un gendarme n’utilise jamais son arme par plaisir. Car derrière l’utilisation de l’arme de service, le fonctionnaire tombe sous la coupe de la loi pénale et doit répondre de ses agissements devant l’IGPN, la police des polices.
Ensuite, la mise en garde à vue ou en examen ne signifie pas être coupable. La présomption d’innocence est également effective pour les forces de l’ordre.
Nous espérons que les enquêtes diligentées apporteront la vérité et que le bon sens l’emportera.
Ce qui ne sera pas le cas chez la France insoumise, formation politique soi-disant de gauche, dont son chef, Jean-Luc Mélenchon, qui parle d’un «abus de pouvoir inacceptable», traite les policiers du syndicat Alliance de «factieux», affirme que «la police tue».
Rien n’est plus crasse venant de la part d’un élu (pour quelques jours encore) qui crache sa haine continuelle sur les forces de police et de gendarmerie. Trois quart de nos concitoyens soutiennent leur police, Monsieur Mélenchon reste et sera toujours du côté de la voyoucratie.
L’idéologie tenue par Monsieur Mélenchon va à l’encontre de notre société, elle est contraire à nos valeurs républicaines et celles de la France.
Le Bureau national de l’UDT.